troisième partie d’un voyage au JAPON en septembre 2006

11 octobre

Voyage au Japon (troisième partie) TOKYO – les temples

QUATRIEME JOUR A TOKYO : Il pleut plus que jamais !
 
Le troisième jour, il pleut toujours ! Et pourtant, nous ne pouvons plus différer; il va bien falloir aller voir les temples car nous n’avons plus que deux jours à passer à TOKYO.
 
Le matin, très tôt, nous allons d’abord visiter le sanctuaire Meiji Jingu, construit en 1920 après la mort de l’empereur Meiji afin de le faire entrer au Panthéon des divinités shintoïstes. C’est aujourd’hui le plus célèbre sanctuaire (jinja) du Japon.
 
Le jardin, le Meiji Jingu gyoen, est l’un des jardins les plus connus du Japon en raison de la renommée de son sanctuaire. En été (en principe, nous y étions bien en été !), selon le guide, il ne faut pas manquer d’aller admirer son étang ainsi que la centaine de variétés d’iris. Mais, de tout ça, nous ne verrons pas grand chose car il pleut vraiment très très fort !
 
Nous sortons du métro juste devant l’entrée du jardin, courbés en deux sous nos parapluies et nous avons juste le temps de voir, sur la droite, une route avec quelques personnes; nous allons donc les suivre. Et même très longtemps … jusqu’à ce que, deux ou trois kilomètres plus loin, nous nous retrouvions … à la sortie du parc !
Nous avons dû louper un épisode quelque part. Pourtant le guide fait état d’immenses portiques taillés dans un bois vieux de 700 ans et originaire de Taïwan. En nous retournant, nous verrons bien le portique, mais, le premier, celui qui était juste à  la sortie du métro, nous ne l’avons pas vu car il était caché par nos parapluies.
Il nous faut donc repartir vers l’endroit d’où nous venons et c’est très fatigués que nous arriverons enfin devant le sanctuaire. Nous y sommes d’ailleurs seuls vu le temps. Bien sûr, nous n’aurons pas le courage d’aller ensuite à la recherche de l’étang et des iris. Complètement trempés, nous nous engoufrons à nouveau dans le métro, direction ASAKUSA.
 
Nous entrons sur le site par la Kaminarimon, la porte du Tonnerre qui marque l’entrée du temple Senso Ji qu’on atteint à pied par une très longue galerie éclairée par des centaines de lanternes en papier. C’est la Nakamise dori. Elle est bordée, de chaque côté, par des boutiques de souvenirs, de peignes ou de kimonos. Mais, lorsque nous arrivons, les boutiques sont encore presque toutes fermées. C’est au retour que nous pourrons voir ces véritables "marchands du temple".
 
Le Senso Ji est l’un des temples les plus connus de TOKYO, vraisemblablement fondé en 628. Mais le temple actuel, reconstruit après la guerre, ne remonte qu’à 1958.
En fait, le site est une véritable ville avec de nombreux sanctuaires, temples bouddhistes, shintoïstes, des pagodes et de nombreux bâtiments annexes au milieu de grands jardins.
 
Plus loin, je vous dirais un mot sur les rapports des Japonais avec la religion, mais c’est loin d’être simple. D’ailleurs, selon un dicton : "Les Japonais naissent shintoïstes, mais meurent bouddhistes".
 
Nous passerons donc le reste de la matinée à errer au milieu de tous des bâtiments, tous très différents les uns des autres, depuis le grand temple Senso Ji et la pagode Dembo in jusqu’à de modestes petits autels, le point commun étant, devant tous ces sanctuaires, des petites planchettes de bois ou simplement des morceaux de papier qui sont des ex-voto, remerciements pour une grâce accordée (comme autrefois dans les églises catholiques en Occident) ou demande concernant sa vie professionnelle ou affective, ou une réussite à un examen, par exemple. En fait, les Japonais sont très supersticieux et ont constamment recours à des prédictions faites souvent par un robot. Vous mettez de l’argent dans l’appareil automatique et le robot va vous chercher un papier sur lequel vous lisez ce qui, pour les Japonais, est l’équivalent des horoscopes tant prisés des Français !
 
Quand nous sommes arrivés dans le quartier d’ASAKUSA, il ne pleuvait plus, mais le ciel était très nuageux et la lumière assez triste. Il m’a fallu passer beaucoup de temps pour redonner à ces photos un peu de luminosité afin de les rendre présentables (merci, Adobe !)
 
LA RELIGION AU JAPON
 
Si on le leur demandait, peu de Japonais affirmeraient qu’ils sont très croyants. Dans leur recherche de la croissance économique et d’un mode de vie axé sur la technologie, les Japonais peuvent donner l’impression d’avoir négligé la religion. Mais, en réalité, les questions spirituelles n’ont jamais vraiment disparu de la vie japonaise et les rites religieux sont pratiqués quotidiennement.
Près de 90 % des Japonais sont shintoïstes et … 75 % bouddhistes.
Bizarre, bizarre, me direz-vous, mais, en fait, les Japonais adoptent  souvent les deux confessions qui, de toutes façons, ne s’opposent pas l’une à l’autre et si les Japonais assistent à des cérémonies shintoïstes dans la première partie de leur vie, pour les naissances ou les mariages, ils se rendront à des obsèques bouddhistes !
 
Beaucoup de fêtes sont semi-religieuses.
 
On ne sait que peu de choses sur la religion des anciennes populations du Japon si ce n’est que leurs croyances formèrent la base du Shintoïsme.
D’après des chroniques datant du début du VIIIème siècle, tous les éléments de la nature, montagnes, rochers, rivières, arbres, étaient habités par des esprits, les Kami. Une personne décédée devenait kami  et pouvait, temporairement, habiter l’une de ces choses.
 
Au cours des IVème, Vème et VIème siècles, le taoïsme et le confusianisme chinois pénétrèrent au Japon et se mélangèrent à sa mythologie et à la croyance aux kami. Cet ensemble de croyances prit le nom de "shinto" (voie des dieux) qui le distinguait du bouddhisme (bukkyo). Le shintoïsme est ainsi la plus vieille religion japonaise. Son sanctuaire véritable est la nature et les forces de la nature elles-mêmes sont vénérées. Les dieux existent dans les eaux des sources et des torrents, ou bien dans l’herbe et les arbres qui poussent autour des temples. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, au Japon, les sanctuaires sont toujours très étroitement associés à des parcs et jardins.
 
Le shintoïsme a presque toujours été la religion d’Etat surtout parce qu’il attribue à l’empereur une origine divine. Hiro-Hito était encore considéré comme un "dieu vivant" et personne n’avait le droit de porter le regard sur lui. Les choses ont bien changé avec son successeur : Aki-Hito. Le shintoïsme d’Etat fut en effet abrogé après la seconde guerre mondiale et l’empereur changea le cours de l’histoire en renonçant à la divinité.
 
Le bouddhisme arrivé de Chine et de Corée en 552 après J.C., fut d’abord contesté par les détenteurs du pouvoir parce qu’il introduisait la culture chinoise au Japon.
La notion du cycle de la mort et de la renaissance, l’insignifiance des choses temporelles et la promesse de la grâce divine, tout cela était nouveau pour les Japonais. Mais, fidèles à leur tradition séculaire, ils adaptèrent la nouvelle doctrine en rejetant tout ce qui ne s’accordait pas avec leurs croyances.
 
Au début, des rivalités éclatèrent entre les clans shintoïstes et bouddhistes pour des raisons plus politiques que religieuses. Et, bien que l’aristocratie adoptât le bouddhisme, le shintoïsme resta la religion du peuple.
 
Tout au long de son histoire, le bouddhisme japonais a engendré puis éliminé de nombreuses sectes. Il reste aujourd’hui 11 sectes au Japon, subdivisées en 58 branches.
Les écoles de NARA pratiquent les plus anciennes formes de bouddhisme. Mais l’une des écoles les plus influentes, celle du zen, fut popularisée dès le XIIème siècle par un moine, Tendai Eïseï qui fonda la secte du Zen Rinzaï, mais très peu de temps après, un autre moine, Dogen, forma une autre secte zen, le Zen Soto qui est, de nos jours, la plus active du pays. Elle rassemble environ huit millions d’adeptes, possède une université, plusieurs grandes écoles et un vaste système social et caritatif. Le Soto accorde une importance primordiale au travail social et au comportement moral.
 
Parmi les trois branches principales du bouddhisme, le Jodo Shin, le Nichiren et le Zen, la classe des samouraïs choisit le Zen.
Les aspects les plus violents du Zen furent mis en avant, son mépris de la douleur et du plaisir et son autodiscipline, ironie de l’histoire, sont aujourd’hui ce qui fait le succès du Zen par ses aspects les plus pacifiques.
 
Dans le bouddhisme zen, la méditation est au centre de la pratique religieuse et aide le fidèle à atteindre l’Eveil spirituel (Satori).
La méditation vise à faire passer l’esprit de Bouddha dans celui de la personne qui est en train de méditer. Pour y arriver, le croyant doit totalement purifier son esprit, ce qu’il ne peut atteindre qu’en méditant sur la vanité de toute chose. Le Zen a profondément influencé l’art japonais, en particulier la peinture de la nature.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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2ème partie d’un voyage au JAPON en septembre 2006

 
6 octobre

Voyage au Japon (deuxième partie)

Je sais que je vais en décevoir beaucoup, mais, aujourd’hui, vous ne verrez toujours ni temples ni jardins. Quand on voyage seul, on n’est pas tenu de respecter un programme établi à l’avance et on peut improviser en fonction des évènements, or, à …
 
TOKYO, le troisième jour, il pleut toujours !
 
Allons, les temples attendront encore car il y a encore beaucoup de choses à voir dont une partie est dans des lieux couverts.
 
Mais, d’abord, quelques photos qui remontent à la veille lorsque nous avons visité le marché au poisson. Tout autour de cet immense marché, s’est mise en place une véritable ville annexe avec de nombreux commerces, notamment de nourriture, voire des traiteurs car il semble que les Japonais n’aiment pas trop faire la cuisine chez eux et mangent soit au restaurant, soit achètent des plats déjà préparés. Pour ce qui nous concerne, le soir, nous ferons comme eux et ferons nos courses avant de rentrer manger … dans notre chambre à l’hôtel.
 
On peut noter, les photos 012 et 013 qui représentent les plats tels qu’ils sont proposés, en matière plastique, mais étonnants de vérité. On peut ainsi savoir ce qu’on peut manger et le prix.
Sur les photos 015 à 017, nos achats pour le repas du soir;
en 018 et 019, des restaurants qui ressemblent à tout sauf à des restaurants !
 
Et nous en arrivons au troisième jour. Donc, il pleut toujours. Et la petite pluie fine est devenue une vraie pluie, parfois très forte.
 
Tôt le matin, nous partons pour GINZA, un quartier chic, le plus cher de tout TOKYO. Déjà, j’espère trouver un magasin SONY car, de façon très stupide, j’ai oublié chez moi le chargeur pour les batteries de mon camescope. Et, avec deux batteries, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.
Nous trouverons bien un immeuble SONY, mais qui n’ouvre qu’à 11 heures.
Les magasins sont tous fermés et nous ne pouvons même pas faire comme les Japonais, pour qui ces magasins sont trop chers et qui ne viennent à GINZA que pour faire du lêche-vitrine.
Bien abrités sous nos parapluies, c’est donc assez vite que nous visiterons ce quartier, le but étant en fait le théâtre Kabuki.
 
Le Kabuki, forme de théâtre remontant au XVIème siècle, était à l’origine un spectacle érotique joué par des femmes. Mais les autorités interdirent aux femmes de monter sur scène. C’est ainsi qu’est née la tradition des onnagata – rôles de femmes joués par des hommes qui ont fini par en devenir les vedettes.
Aujourd’hui, le kabuki est une forme sérieuse de théâtre quoique l’excentricité des costumes, le jeu des acteurs et les décors hallucinants le situent à mi-chemin entre la commedia dell’arte et … grand guignol !
 
Il faut reconnaître toutefois que ce n’est pas facile à apprécier pour des occidentaux qui ne sont pas préparés à ce type de culture. Les Japonais l’ont bien compris, qui vendent aux touristes, des billets pas chers valable pour un seul acte (le spectacle complet pouvant durer plusieurs heures). Nous avons donc assisté au premier acte et, très franchement, nous sommes vite partis sans aucune envie d’en voir et d’en entendre plus. Même en faisant des efforts, on ne peut pas tout aimer.
 
Du coup, aucune envie d’essayer le théâtre nô qui est lent et plutôt austère. Et c’est, même pour certains Japonais, un spectacle notoirement assez ennuyeux. Donc exit le théâtre nô.
 
En revanche, nous avons très envie de voir des compétitions de sumo. La période est idéale car le mois de septembre est le mois des plus importantes compétitions.
Celles-ci ont lieu au Kokujikan, superbe salle tout près de la station de métro Ryogoku.
Pendant tout le mois de septembre les compétitions commencent à 8 heures 30 pour se terminer à 18 heures et nous aurons l’occasion de voir les plus grands champions du Japon dont le plus célèbre : Asashoryu AKINORI, pratiquement invaincu depuis novembre 2002. Depuis cette date, sur 23 championnant, il en a remporté 17.
 
Au début, comme pour le Kabuki, nous avions l’intention d’aller y jeter un oeil et de partir si c’était ennuyeux. Pour les Français, le sumo n’est généralement qu’un affrontement grotesque entre deux poussahs un peu tels qu’ils sont caricaturés dans les intervilles de Guy LUX. Et, à notre grande stupéfaction, nous allons découvrir un vrai sport avec de véritables athlètes, un sport qui est en même temps un magnifique spectacle avec ses règles et ses somptueux costumes.
 
Mais je vous laisse lire à ce sujet une excellente documentation trouvée sur internet :
 
A. Les règles de base
 
Les combats se déroulent sur une arène spéciale, circulaire, le dohyo. Pour marquer un point, les lutteurs dont , sur les photos, j’ai gardé le nom en japonais, mais qui sont appelés en France  : sumotori, doivent expulser l’adversaire hors du cercle, ou lui faire toucher terre par une partie quelconque autre que la plante des pieds, en utilisant une ou plusieurs des 48 prises autorisées (kimarite). Les coups de poing, l’arrachage des cheveux, les étranglements et les coups de pied sont interdits.
 
Le combat consiste en fait à briser le subtil équilibre entre les deux adversaires.
 
B. le déroulement d’un combat
 
Le combat est dirigé par un arbitre, le gyoji, vêtu d’un kimono en soie et portant un chapeau spécial. La tradition veut qu’il porte un éventail symbolisant son autorité. Cinq juges, souvent des yokozunas (anciens grands champions), supervisent également les combats et, en cas de contestation, c’est à eux qu’on aura recours pour trancher.
 
Deux champions pénètrent dans le cercle et, après quelques mouvements d’assouplissement, jettent une poignée de sel sur le sol, rite de purification shintoïste. Ils s’accroupissent, frappent le sol avec les poings et s’affrontent par le regard. Ce rituel porte le nom de shikiri-naoshi et dure quatre minutes. La parade préliminaire se compose également de déplacements visant à intimider l’adversaire. Lorsque les préliminaires sont terminés, les deux lutteurs s’élancent l’un vers l’autre. Et, le plus souvent, le combat ne dure que quelques secondes.
Ce qui est impressionnant – et typiquement japonais – c’est la totale impassibilité des concurrents. Celui qui perd, aurait-il été le favori de la rencontre, ne manifeste aucune émotion et sort après avoir salué son vainqueur et quand, lors de pauses, les sumotori semblent fâchés, ils le sont contre eux-mêmes; jamais contre leur adversaire et c’est eux qu’ils frappent, sur les cuisses et parfois en se donnant des gifles.
 
En tout cas, une compétition de sumo est beaucoup plus intéressante et spectaculaire qu’un match de judo où, souvent, on voit les adversaires se tirer pendant 5 minutes par le kimono, esquisser des gestes qui ne mènent à rien et à se rhabiller lorsque le kimono est complètement défait.
 
C. les tournois
 
Chaque année, plusieurs tournois ont lieu mais seuls six tournois officiels (ou Hon-basho), organisés les mois impairs, comptent dans les scores officiels de chaque lutteur.
 
Sur ces six tournois, trois ont lieu à TOKYO, les autres ont lieu à OSAKA, NAGOYA et FUKUOKA.
 
Dans une compétition officielle, il y a quinze combats par lutteurs, organisés sur une période de quinze jours.
 
D. Les différents grades
 
La division supérieur des lutteurs de sumo (Makuuchi) regroupent deux catégories :
 
– Les Sanyaku :
* Yokozuna : rang le plus haut dans la hiérarchie du sumo. Décerné par la fédération, le lutteur le porte à vie;
* Ozeki : rang venant après le Yokozuna et avant le sekiwake. Nommé par la fédération, l’Ozeki peut être rétrogradé si ses résultats sont insuffisants;
*Sekiwake : rang de grand champion venant après les Yokozuna et les Ozeki;
*Komosubi : rang le plus bas du groupe des Sanyaku, après les Yokozuna, les Ozeki et les Sekiwake.
 
Maegashira : groupe de la division makuuchi regroupant les lutteurs de bas de tableau de la division.
 
Dans un tournoi, les lutteurs ayant atteint Kashikochi (plus de victoires que de défaites) monteront dans les rangs au prochain banzuke. (Ce n’est pas valable pour les Yokozunas et les Ozekis). A l’inverse, les lutteurs ayant atteint Make-Koshi (plus de défaites que de victoires) descendront dans les rangs.
 
Parmi les photos de l’album présenté, celles qui vont de 035 à 081 montrent des compétitions de sumo à TOKYO.
Sur la photo 039, vous pouvez voir le déroulement d’une journée depuis 8 heures 30 jusqu’à 18 heures, le tableau se lisant du haut à droite puis du bas en haut à gauche.
 
Les feuilles de gingko représentées sur la photo 040 sont considérées comme sacrées au Japon et la coiffure des sumotori est inspirée de leur forme.
 
Maintenant, si vous voulez avoir une idée concrète sur ce qu’est un combat de sumo, vous pouvez aller sur le lien : www.banzuke.com et vous aurez la possibilité d’y voir tous les matchs importants, année par année et mois par mois. Franchement, essayez : vous verrez, ça en vaut la peine.
Nous pensions, comme pour le Kabuki, ne rester que peu de temps, mais, fascinés par ce spectacle extraordinaire, nous sommes finalement restés de 15 à 18 heures.
 
Et même si ces sumotori semblent parfois bien gras, ce sont, je vous l’assure, de véritables athlètes car saisir à bout de bras un adversaire d’environ 150 kilos et le projeter à terre, croyez-moi, ce n’est  pas à la portée de n’importe qui, serait-il gros !
 
Je peux d’ores et déjà vous rassurer : les temples et jardins, ce sera pour la troisième partie.
 
 
 

 
Vous pouvez voir toutes les photos se rapportant à cet épisode en cliquant sur "photos" et "JAPON 2ème partie".
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transfert d’un premier album sur le Japon en septembre 2006

Je viens de transférer un nouvel album consacré à un voyage au Japon en septembre 2006. Celui-ci porte sur les deux premiers jours à TOKYO. Vous pouvez voir l’album en cliquant sur photos et Japon I et, ci-dessous, vous pourrez voir le texte qui accompagnait alors ce premier album que vous pouvez également revoir sur mon site principal "reisenderinderwelt.spaces.live.com".
 
VOYAGE AU JAPON EN SEPTEMBRE 2006
 
Nous avons finalement fait, de TOKYO à KYOTO et OSAKA, un merveilleux voyage. Et pourtant, au départ, les choses ne s’annonçaient pas trop bien.
 
Déjà, nous espérions assister à de grandioses cérémonies, riches en couleurs à l’occasion de la naissance du prince héritier, évènement attendu par les Japonais depuis 41 ans. Il n’en fut rien.
 
Ensuite, la météo ne nous fut pas favorable et, sur cinq jours passés à TOKYO, nous eûmes trois jours et demi de pluie : petite pluie fine et continue le plus souvent, mais parfois, franchement : des cordes ! Il nous fallut donc adapter notre programme aux circonstances.
 
Et puis, déjà, en route vers TOKYO depuis l’aéroport situé à 60 km de la ville, je fus très déçu d’entrer dans une ville très industrialisée et très semblable à des métropoles occidentales, notamment américaines.
Mais où étaient donc passées les splendeurs de l’Orient ? Nous finîmes par les découvrir, mais avec beaucoup d’assiduité et de patience car si le Japon a un très long passé en tant qu’Etat, le premier ayant été créé au VIIIème siècle avec NARA comme capitale, il ne faut pas oublier que les villes japonaises ont terriblement souffert des bombardements au cours de la dernière guerre mondiale et, en grande partie détruit, le Japon n’eut d’autre choix que d’accepter l’occupation américaine. Ce fut d’ailleurs grâce aux commandes américaines, mais aussi une impressionnante capacité de travail, que le Japon va opérer un redressement des plus spectaculaires, devenant, dès le début des années 1960, le pays le plus productif d’Asie. Il va même, au cours des années 1980, devenir la deuxième puissance économique mondiale allant jusqu’à talonner les Etats-Unis.
 
Il ne faut pas donc s’étonner de voir d’abord, en TOKYO, une ville extrêmement moderne avec cependant, pourvu qu’on les trouve, de magnifiques îlots préservés avec jardins et temples, qui sont eux-mêmes de véritables villes à l’intérieur de la ville. Nous saurons heureusement les trouver.
 
 
LE JAPONAIS, UNE LANGUE METISSEE
 
L’écriture japonaise est un véritable casse-tête … chinois que les élèves vont mettre dix ans à maîtriser.
 
Jusqu’au VIème siècle, les Japonais n’avaient aucun système d’écriture et ils vont donc adopter celui de leur grand voisin : la Chine. Ils conservèrent le sens des idéogrammes mais remplacèrent la prononciation par les mots japonais correspondants.
Ils finirent cependant par comprendre, ce qui leur prit tout de même deux siècles, qu’il était impossible d’utiliser la prononciation japonaise pour les mots composés. ils décidèrent alors d’emprunter les sons chinois pour ces mots-là, ce qui enrichit la langue primitive du Yamato (l’ancien nom du Japon) d’autant de mots nouveaux qu’il y avait d’idéogrammes, c’est-à-dire plusieurs milliers !
 
Vers le VIIIème siècle, des érudits inventèrent un syllabaire qui permettait de transcrire les idéogrammes en sons japonais. Cet alphabet fut appelé katakana (c’est-à-dire : lettres d’à côté) car il était noté en marge des textes et comprenait à peu près cinquante signes fabriqués à partir d’idéogrammes simplifiés .
 
A partir du Xème siècle, un deuxième syllabaire phonétique; les hiranaga, commença à être utilisé par les dames de la cour qui ne voulaient pas apprendre le chinois.
 
Aujourd’hui, l’écriture japonaise est un mélange de kanji (les idéogrammes), de hiragana et de katakana, ce dernier étant réservé aux seuls noms d’origine étrangère.
En 1946, on a réduit à 1.850 le nombre des idéogrammes obligatoires à l’école, ce qui n’empêche pas l’écriture japonaise d’être l’une des plus difficiles à maîtriser. Et, pour faire bonne mesure, ajoutons que le japonais s’écrit couramment de droite à gauche et de la dernière à la première page, comme en arabe, mais aussi parfois de gauche à droite et, fréquemment : verticalement.
 
Alors, que faire lorsqu’on débarque dans un tel pays sans connaître un mot de japonais ? Il faut déjà, précaution élémentaire, se munir d’un guide avec des plans avec des noms rédigés en caractères latins. A la réception de l’hôtel, vous n’aurez aucune difficulté pour obtenir un plan en japonais et, pourvu que vous indiquiez sur votre plan l’endroit où vous voulez vous rendre, l’hôtesse vous tracera avec un feutre le cheminement pour y arriver. Il vous suffira, après, de montrer de plan en japonais à n’importe qui et les Japonais, qui sont extrêmement serviables se feront un plaisir de vous indiquer par tous moyens, y compris par gestes, comment continuer votre périple, quitte à vous accompagner un bout de chemin pour vous mettre mieux sur la voie.
 
La première difficulté commence à la gare où il faut acheter ses billets avec une machine automatique, assez complexe, dont les explications sont évidemment rédigées en japonais. Evidemment, vous bloquez un appareil pendant pas mal de temps.En France, vous vous feriez vite traiter de tous les noms. pas au Japon où il y aura toujours quelqu’un pour tenter de vous expliquer comment ça fonctionne. Vous montrez simplement votre plan avec la destination et il vous dit sur quelles touches il faut taper pour acheter vos billets.
 
Comme vous pouvez le voir sur ces premières photos, les restaurants, souvent situés dans les gares, sont très petits avec, tout au plus une dizaine de sièges, mais, là encore, il vous faut acheter un ticket sur une machine automatique. Mais vous n’aurez finalement pas trop de difficultés dans la mesure où les plats sont tous représentés en photo ou même en matière plastique, plus vraie que nature. En revanche, il ne faut pas rechigner à manger comme eux car, pour le bifteck-frites, sûr, il vaut mieux aller ailleurs !
 
LA CUISINE JAPONAISE
 
Elle est à la fois très variée et extrêmement raffinée, mais c’est un fait qu’elle peut déconcerter des occidentaux s’ils n’ont pas, au préablable, voyagé en Asie et notamment en Chine ou, tout simplement fréquenté les nombreux restaurants japonais et coréens qu’on trouve notamment à PARIS.
 
Le poisson cru est la spécialité japonaise par excellence. Il se mange soit en sashimi – simple tranche qu’on trempe délicatement dans le sohyu (sauce de soja agrémenté de moutarde verte très forte) – soit en nigiri sushi – la tranche est alors posée sur une boulette de riz légèrement vinaigrée – soit encore en maki sushi – c’est-à-dire enroulée avec du riz dans une algue nori. Dans tous les cas, le poisson est débarrassé de ses arêtes et servi avec du gingembre mariné dans du vinaigre.
Un assortiment classique moriawase comprend en général huit à douze pièces parmi lesquelles on trouve du thon, du thon gras, du saumon, une crevette, de la seiche, du maquereau et de l’omelette japonaise.
Les sushiya de TOKYO se ravitaillent chaque matin au marché TSUKIJI (que, bien sûr, nous ne manquerons pas de visiter), l’un des plus grands marchés au poisson du monde.
 
En allant manger dans les sushiya, on peut faire un excellent repas pour moins de 1.500 yens, soit l’équivalent de 10  €.
Le must est le restaurant de sushis tournants où les plats défilent devant les clients sur un tapis rotatif. On choisit autant de plats qu’on désire et on empile les assiettes à côté de soi. A la fin, on compte le nombre d’assiettes pour régler l’addition. Si les assiettes sont de couleurs différentes, elles ne sont pas au même prix.
 
Mais il y a aussi les nouilles japonaises qui n’ont strictement rien à voir avec les spaghetti italiens, consommées chaudes en soupe ou bien froides sur un lit de bambou.
 
Mais le plat le plus connu avec le poisson cru est indiscutablement le sukiyaki qui est une fondue de boeuf. Toute la préparation est faite sur la table. Dans un plat en fonte, on fait griller de fines tranches de boeuf, puis on verse un bouillon de soja, légèrement sucré, avant d’ajouter des légumes et le tofu qui est un fromage de soja. Le sukiyaki est servi avec du riz blanc.
 
On peut aussi mentionner les tempura, spécialité d’origine étrangère puisque importée par les Portugais au XVIème siècle ainsi que le temppan-yaki,véritable spectacle où, devant chaque table, un cuisinier jongle avec de la viande et des crevettes au dessus d’une  plaque chauffante. Le menu comprend également une entrée, du riz et un dessert.
 
Sans oublier bien sûr le saké, boisson nationale des Japonais qui commencent pourtant à lui préférer du vin (souvent en provenance de France) ou de la bière.
 
DEBUT DE NOTRE VISITE DE TOKYO
 
A notre arrivée à l’hôtel, vers 11 heures, la chambre n’est pas prête. Nous allons donc déjeuner, puis, après un brin de toilette, indispensable après 12 heures passées en avion, nous allons nous jeter à l’eau en commençant par le métro, direction : la station "Tokyo" en plein centre ville, mais qu’on appelle de préférence le "centre vide" car il consiste en un immense espace vert, en partie interdit au public, au milieu duquel se trouve le palais impérial dont, en fait, on ne voit pas grand chose. Le palais est un bâtiment très simple entièrement reconstruit après la seconde guerre mondiale.
 
C’est alors que la pluie a commencé à tomber. heureusement, au Japon, en cette saison, on peut partout acheter des parapluies très pratiques parce que légers et transparents pour, selon la taille, l’équivalent de deux ou trois euros.
 
Le lendemain matin, il pleuvait toujours. Nous avons donc opté pour un endroit couvert et sommes allés visiter le marché au poisson de TSUKIJI. Il faut y aller tôt si on veut assister aux enchères qui ont lieu sur le port, là où accostent les bateaux mais ce n’était pas pour nous un problème car nous nous levions toujours vers les 5 heures. Toute une petite ville s’est créée autour de cet immense marché avec commerces d’alimentation, mais surtout de nombreux restaurants de poisson cru et c’est dans l’un d’eux que nous irons manger des sushis à … 10 heures. De toutes façons, au Japon, on peut manger n’importe où et à n’importe quelle heure.
Pendant la visite du marché, il faut rester vigilant car les visiteurs sont tout juste tolérés dans ces allées étroites où circulent en permance de curieux engins pour le transport des poissons, des engins qui vont très vite et qui ont, à l’avant, une sorte de cylindre vertical qui leur permet de tourner à l’aise dans les allées les plus étroites.
 
Sur ce premier album, toujours pas de temples. Nous attendions des jours meilleurs. En revanche, beaucoup de vues de gares qui sont des lieux gigantesques à plusieurs niveaux et avec de très longes allées, occupées par différents commerces et beaucoup de restaurants. Car c’est là que, vers 6 heurs 30 du matin , les Tokyoïtes viennent prendre leur petit déjeuner avant d’aller travailler et c’est également là que, le soir, ils feront leurs courses car, dans les galeries marchandes des gares, on peut tout trouver.
 
En fait, les Japonais vivent essentiellement : dans leur logement où, généralement, ils ne font que dormir, dans les gares où ils prennent leurs repas et font leurs courses, dans les transports publics et, bien sûr, sur leur lieu de travail.
 
Les gares sont donc, à TOKYO de véritables lieux de vie, toujours extrêmement animés, mais aussi très propres, ce qui appraît nettement sur les photos, le sol étant brillant sans la moindre poussière ni papiers jetés par terre. De plus, comme d’ailleurs au marché au poisson, aucune odeur (si vous avez déjà fréquenté le métro parisien, sûr que nous ne pouvons pas en dire autant !)
 
Car, très vite, nous voyons appraître les qualités des Japonais : politesse, serviablitié, courtoisie, travail, discipline, propreté, honnêté (dans les gares, on voit des gens entrer dans les magasins en laissant leur valise dehors !) tout ce qui, finalement, fait cruellement défaut aux Français.
 
 
 
 
 

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transfert d’un nouvel album sur l’Islande

Je continue à transférer les plus anciens albums encore sur mon site principal : reisenderinderwelt.spaces.live.com.
 
Celui-ci est consacré à des escales en Islande au cours d’une croisière dans le Grand Nord en 2003.
 
J’ai pu récupérer le commentaire d’origine que vous trouverez ci-après :
 

Escales en Islande en juillet 2003

Au cours de notre croisière vers le Svalbard (cf. l’un des albums précédents), en juillet 2003, après les Shetlands et les îles Féroé, nous avons fait deux escales en Islande, d’abord à REYKJAVIK, la capitale, au sud-ouest de l’île, puis à AKUREYRI, au nord, tout près du cercle polaire arctique.
 
L’Islande est un curieux pays fait d’un étonnant mélange d’eau, de glace et de feu. De nombreux lacs, des chutes grandioses, des glaciers dont le VATNAJÖKULL, l’un des plus grands au monde, qui couvre une importante superficie du pays au sud-est, mais un sous-sol bouillonnant et jaillissant par endroits  en geysers ou coulées de lave, en tout cas, des paysages absolument somptueux.
 
Depuis REYKJAVIK, nous avons pu visiter trois sites : d’abord la faille de THINGVELLIR où, depuis un paysage d’aspect volcanique, on peut voir en contrebas une importante faille, profonde qui donne l’impression que là, la terre s’est littéralement fendue, ce qui n’est pas tout à fait faux puisque cette faille marque la jonction des plaques européenne et américaine. D’une certaine façon, mais virtuellement compte tenu de sa largeur, on a un peu le sentiment d’avoir là un pied en Europe et l’autre en Amérique, un continent d’ailleurs tout proche puisque l’Islande n’est séparée du Groënland que par le détroit de Danemark.
 
Ensuite, ce seront les imposantes chutes de GULFOSS puis le site de GEYSIR, toujours en pleine ébullition, un site qui a d’ailleurs donné son nom à l’un des phénomènes qui le caractérisent : les geysers, le plus important étant le Strokkur.
On voit bien là que si le sol est le plus souvent gelé, le sous-sol, lui, est un véritable chaudron ce qui donne à l’islande un climat et des paysages très particuliers.
 
La deuxième escale sera, au nord, au fond d’un fjord, AKUREYRI, d’où nous partirons vers le lac MYTVATN avec, là encore d’impressionnantes chutes, notamment celle de DETTIFOSS, un paysage un peu lunaire formé par des coulées de lave à DIMMUBORGIR, restes d’un ancien lac de lave aujourd’hui vide et appelé "les châteaux noirs".
Le lac MYVATN est, lui, appelé "lac des moucherons" et si vous avez l’occasion d’y passer (sait-on jamais ?) vous comprendrez vite pourquoi.
 
Enfin, toujours sur ce lac, les pseudo-cratères qui, malgré leur aspect, ne sont pas des volcans plus ou moins éteints, mais d’importantes collines qui ont pris cet aspect par la transformation en vapeur de l’eau du lac, chauffée brutalement par la lave omniprésente dans le sous-sol de l’île.
 
Malgré ce que j’ai pu écrire précédemment sur "les touristes importuns" qui se font photographier devant les principaux monuments, vous pourrez, dans cet album, voir deux photos où nous figurons, ma femme et moi, en gros plan. D’abord, en prenant ces photos au milieu d’un paysage grandiose et loin de la foule des autres participants à la croisière, nous ne gênions personne, mais ces photos présentent l’avantage de vous donner, par rapport à nous, l’échelle du paysage avoisinant. Ainsi, en observant bien la photo avec ma femme, regardez, sur la gauche, ces minuscules points qui sont les autres croisiéristes et vous aurez alors une impression juste de l’importance des chutes. D’autre part, par ces photos, vous pourrez constater que la fameuse canicule de l’été 2003 n’avait pas épargné le grand nord. Il suffit de voir comment nous sommes tous deux vêtus d’une simple chemisette pour imaginer quelle température il pouvait faire à quelques kilomètres à peine du cercle polaire !
 
Si vous êtez jeunes et sportifs, ce qui n’était pas notre cas, il est conseillé de visiter l’Islande … à pied. C’est de cette façon qu’il est le mieux possible d’en apprécier toute la variété et la splendeur des paysages. A recommander en tout cas à tous les vrais amoureux de la nature.

 
 
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transfert d’un deuxième album sur la Bretagne

Un deuxième album sur la Bretagne a été transféré sur cet espace.
 
Les commentaires concernant ces deux albums peuvent être consultés sur mon espace principal : "reisenderinderwelt.spaces.live.com", à la date d’août 2006 pour le premier album , et de septembre 2006 pour le second.
 
Je profite de l’occasion pour souhaiter à tous ceux qui passeront par cet espace :
 
 
UNE EXCELLENTE ANNEE 2008.
 
Jacques
 
008 PLOUGASTEL l'église012 PLOUGASTEL le calvaire017 PLOUGASTEL le calvaire - le croisillon supérieur028 PLOUGASTEL le calvaire - la déposition de croix074 FOUESNANT le monument aux morts075 BENODET097 La Roche aux Fées146 VITRE l'hôtel du bol d'or157 VITRE place Notre-Dame161 VITRE rue du château165 VITRE le château179 FOUGERES place du Marchix182 FOUGERES le château187 FOUGERES les douves du château188 FOUGERES les douves du château
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transfert d’un premier album sur la Bretagne

Comme indiqué précédemment, vous pouvez maintenant trouver sur cet espace un premier album sur un voyage fait en Bretagne en juillet 2005.010 le vieux RENNES026 château de JOSSELIN032 JOSSELIN N.D. du Roncier040 VANNES la vieille ville054 VANNES le château de l'Hermine056 VANNES les remparts082 château de SUSCINIO108 les alignements de CARNAC126 la pointe du Raz131 la pointe du Raz166 Ste Marie du Ménez-Hom le calvaire206 PLEYBEN vitrail XVIème siècle217 LE CONQUET
 
Un second album sur la Bretagne sera mis en place début janvier car je ne peux mettre plus de 500 photos sur ce site chaque mois.
 
 
PASSEZ TOUS DE BONNES FÊTES DE FIN D’ANNEE.
 
 
 
 
 
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réouverture de cet espace secondaire

Après de longs mois d’inactivité, cet espace va recevoir de nouveaux albums photo.
En effet, mon site principal "reisenderinderwelt" commence à être saturé et l’ouveture de cet espace devient de plus en plus longue.
J’ai donc décidé de transférer sur cet espace-archives les plus anciens albums.
Aujourd’hui, ce sera un album consacré à une croisière dans le grand nord jusqu’au Svalbard, dans l’océan arctique, en 2003.
D’autres suivront par la suite, notamment deux albums sur la Bretagne en 2005.
 
Mais, pour le moment, je n’ai  pas trouvé le moyen (à condition encore qu’il existe) de transférer les commentaires sur ces albums photos.
Maintenant, si quelqu’un d’entre vous a une idée à ce sujet, qu’il me contacte sur reisenderinderwelt@hotmail.fr, ses conseils seront toujours les bienvenus.
 
En toute amitié.
jacques000 NORVEGE croisièe au Svalbard en 2003003 au Svalbard004 au Svalbard014 au Svalbard017 au Svalbard036 au Svalbard037 au Svalbard047 l'île Yanmayen071 dans le fjord081 Longyearbyen les motoskis
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NECESSAIRE MISE AU POINT

Après avoir lu ce commentaire en date du 5 avril :
 
Bernie

Des longues interventions chez Cristolinette ou ailleurs me manquent

5 avril 07:10
(http://courrieres.spaces.live.com/)

 
 

  J’ai été quelque peu perplexe du fait que cet espace, où je ne passe que très rarement car il ne présente pour moi aucun intérêt puisqu’il ne sert qu’à archiver d’anciens albums qui sont déjà tous dans mon ordinateur, ne comporte aucun commentaire; j’ai, en son temps, expliqué pourquoi.

 

J’ignore si c’est de moi qu’on attend "de longues interventions chez Cristolinette ou ailleurs" mais des billets assez longs sont régulièrement publiés, là où ils doivent se trouver, c’est-à-dire dans mon espace principal  dont l’adresse est :

http://reisenderinderwelt.spaces.live.com/

En ouvrant un premier espace (celui-ci), puis un deuxième, j’ai clairement indiqué quelles étaient mes motivations pour m’investir un peu sur le net. Cet espace porte comme sous-titre : "Avez-vous envie d’aller un peu voir ce qui se passe ailleurs ?" et le second : "Avoir une autre vision du monde".

 

Je n’ai donc jamais prétendu présenter autre chose que des relations de voyages si possible dans des pays peu connus, le second espace étant plus spécifiquement orienté sur la façon de voyager de façon à comprendre le mieux possible le pays qu’on visite : ses moeurs, ses coutumes, ses croyances, son mode de vie , son architecture et, bien entendu, les sites qui en font généralement l’intérêt, ce qui n’est pas toujours possible en passant par les habituels tour-operators.

 

C’est pourquoi, les voyages relatés dans l’espace principal actuel sont beaucoup plus abondamment commentés  et documentés que les premiers présentés sur cet espace-ci.

 

En revanche, je n’ai pas vocation à aller sur d’autres espacs pour de "longues interventions" ce qui, déjà, demande beaucoup de temps, mais surtout parce que je n’aime parler que de ce que je connais bien. Or, avec l’âge, je constate chaque jour un peu plus mes lacunes dans  bien des domaines et je préfère ne pas mettre de commentaires plutôt que de laisser des banalités du genre : "c’est bien"; "intéressant"; "bravo pour ce remarquable exposé" etc…

 

Maintenant, les albums et billets que vous pouvez trouver sur mon espace principal n’ont généralement pas d’autre but que de relater des voyages qui peuvent vous intéresser ou non, ce qui n’est pas mon problème.

Je n’oblige personne à y passer ou à y laisser des commentaires, mais j’entends qu’on m’accorde réciproquement le droit d’aller là où j’ai envie d’aller et d’y laisser éventuellement les commentaires que j’ai envie d’y mettre.

 

Je ne suis pas Pic de la Mirandole; j’ai certes des connaissances, mais dans des domaines limités; je n’ai aucun talent d’écrivain et encore moins pour la poésie et je ne suis pas critique littéraire.

 

Aussi, continuerai-je à présenter des relations de voyages pour ceux que cela peut intéresser, libre à ceux qui viennent voir billets et albums de laisser un commentaire, même critique ou de poser des questions auxquelles je réponds toujours.

 

Mais n’attendez rien d’autre de moi.

Bien cordialement.

jacques EHRMANN 

 

 

 

 

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FIN DE L’ARCHIVAGE DES ALBUMS DE MON ESPACE PRINCIPAL

Avec l’enregistrement, aujourd’hui, de deux albums consacrés, l’un à la troisième partie de LISBONNE et l’autre à SINTRA et aux environs de LIBONNE, se termine l’archivage des albums qui ont déjà été présentés sur mon espace principal.
 
Ce site, qui n’est donc qu’une annexe réservée à l’archivage d’anciens albums, comprend maintenant un total de 4.189 photos que vous pouvez consulter à loisir.
 
Les autres albums, plus récents, peuvent être vus sur mon espace principal qui est :
 
reisenderinderwelt.spaces.live.com/
 
qui comprend, lui, les commentaires correspondant à chacun des albums.
 
De toutes façons, je serai absent jusqu’au début du mois de mars pour raison de voyage au MYANMAR (ex-Birmanie) et  à BANGKOK.
 
Si, pour le moment, l’archivage est terminé, par la suite, je ferai passer sur ce site les albums les plus anciens encore sur l’espace principal.
Ce site reste donc largement ouvert et continuera d’évoluer par la suite.
 
BONS VOYAGES A TOUS !
 
jacques
 
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A propos de l’album sur LISBONNE

Pour  ceux d’entre vous qui avez déjà eu l’occasion de voir cet album, en 2005, sur mon espace principal, je vous signale qu’il a été depuis largement amélioré.
 
En effet, l’album d’origine comportait des photos pratiquement toutes plus ou moins en biais. Je ne connaissais pas encore Photofiltre à l’époque.
 
Donc l’album que vous pouvez voir maintenant a été entièrement retouché, photo par photo pour redresser tout ce qui ne l’était pas. Pour ceux qui seraient tentés par la même démarche, je vous préviens tout de même : Ca prend un temps fou !!!
 
Et encore merci à Marie B qui m’a fait connaître ce merveilleux outil qu’est photofiltre.
 
Ce premier album sur LISBONNE sera suivi de deux autres sur le même thème, plus un quatrième sur les environs de LISBONNE.
 
Avec ces albums, j’aurai terminé de transférer ceux qui ont déjà été présentés sur mon espace principal et c’est à celui-ci que je vous renvoie pour la suite :
 
reisenderinderwelt.spaces.live.com/
 
jacques
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